Qui est mon photographe ?
Un aventurier, un passeur de vie.
Je m’appelle David — et je ne tiens pas en place.
Je ne suis pas seulement photographe de mariage, je suis un raconteur d’histoires, un explorateur du vivant.
Là où d’autres couvrent une journée, je cherche ce qu’il y a autour : les marges, les nuits sans fin, les routes qui s’ouvrent, les lendemains encore flous.
Mon appareil est mon carnet de route.
Avec lui, je capture les mariages comme des aventures, des mini-séries, des films de vie.
Je vis les choses de l’intérieur, pas derrière une vitre.
Ce que je photographie, c’est l’énergie brute, les émotions fortes, les instants qui débordent.
Aujourd’hui, je ne suis plus seul :
Castille cadre, je pulse.
Deux regards, une même tension.
La photo et la vidéo se parlent, s’embrasent, se complètent.
Ensemble, on transforme votre mariage en expérience — pas en prestation.
Je travaille avec les couples qui veulent plus qu’un reportage :
une mémoire libre, un récit à leur image.
🎥 Venez découvrir notre univers : @the.screaming.chair
Qui est mon photographe ?
Votre histoire, sans détour
Parce que je refuse le mariage standard
Je ne crois pas aux mariages copiés-collés.
Je ne crois pas aux albums lisses, ni aux images sages.
Je crois à l’aventure : la vôtre.
Je crois à la puissance d’un regard, d’un frisson, d’un geste volé.
À la beauté du chaos, aux rires incontrôlés, à la lumière imparfaite.
Je crois aux mariages vécus, pas organisés.
Avec nous, pas besoin de jouer un rôle.
On vous suit là où votre histoire prend sens : en France, en Europe, en Asie.
Et quand vous regarderez vos images, vous ne verrez pas un reportage.
Vous verrez une odyssée.
Votre odyssée.
Qui est mon photographe ?
Mon mariage, à ma façon
(Parce que oui, j’ai dit “oui”. Mais différemment.)
Je me suis marié tard. Après dix ans de vie commune, d’amour, de liberté.
Assez romantique pour dire oui, assez indocile pour le faire à ma manière.
Pas d’alliance.
Un tatouage, à la place.
Sept personnes, photographe inclus.
Pas besoin de plus.
Un mariage civil expédié, juste un prétexte pour enchaîner sur l’essentiel :
un repas, de la musique, du cognac, des rires, la nuit qui s’étire.
La veille, j’étais à un concert.
Le lendemain, dans un avion pour Bangkok.
Le vrai mariage ?
C’était là-bas.
Une semaine d’excès, de fêtes, de découvertes, de nuits trop courtes et de journées trop longues.
22 heures de vie, 2 heures de sommeil.
Aucune règle. Aucun protocole.
Juste ce qu’on voulait, comme on le voulait.
Et c’est sans doute pour ça que je photographie les mariages comme des odyssées — pas des cérémonies.